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VERS LA GAUCHE
Le Bauhaus a été fermé le 1er avril 1925 car les extrêmiste de droite voyaient en l’école de Gropius « un foyer dangereux du bolchevisme »
Le Bauhaus renaît à Dessau en décembre 1926. Pour tous les membres du Bauhaus les années passées à Dessau signifient l’abandon d’une vision utopique de l’art au profit d’une mentalité plus fonctionnaliste
Au cours de cette période Kandinsky affectionne le petit format
Les formes sont calmes et solennelles, les couleurs souvent sombres
Dans « Point et ligne sur plan », publié en 1926 il écrit « La gauche c’est le relâchement,
la légèreté, la liberté … La direction vers la gauche -
Ce mouvement porte en soi une certaine fatigue et son but est le repos »
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SUR LES POINTES
Œuvre aigüe et dépouillée, géométrie vibrante
Un carré parfait
Froid et chaud sont relativemen équilibrés
Une triple barre, trois horizontales grises d’une épaisseur décroissante accentue la résistance rencontrée à l’approche du bord inférieur de la toile
Sur ces horizontales prennent appui obliquement les angles aigus de plusieurs triangles très allongés supportant à leur tour d’autres triangles orientés dans le sens inverse, le tout servant de base de lancement à un grand cercle posé d’une manière excentrique dans la partie supérieure gauche, prédestinée à offrir la moindre résistance à un envol
Le cercle est une forme qui a toujours fasciné Kandinsky
Modeste et précis, d’une variété inépuisable, stable et instable à la fois, calme et violent, le cercle est ressenti comme une tension qui en enferme d’innombrables autres
Un vocabulaire graphique très sobre, se limitant aux lignes droites et aux formes élémentaires : cercle, carré, triangle
En dehors d’une seule couleur primaire, le jaune (très nuancé), Kandinsky n’emploie
sur cette toile que des couleurs secondaires ou la non-
Ces couleurs suivent peu les formes dessinées au compas ou au tire-
Elles ne sont là que pour créer une atmosphère, une transparence
Le thème de la montgolfière revient d’ailleurs à plusieurs reprises dans l’œuvre de Kandinsky vers 1929 et 1930
La structure comparable à un ballon, encore ancré fermement au sol, pourrait s’élever au ciel à tout moment
Quand Kandinsky parle de la quatrième dimension il en parle seulement dans le sens
démodé du temps, c'est-
A la base l’élément de temps en peinture signifie pour Kandinsky le simple fait que pour étudier ou apprécier une œuvre d’art un certain temps est nécessaire
Mais il ne pensait pas uniquement au fait de regarder. Son but était de « transporter » l’observateur à l’intérieur du tableau
L’idée de se mouvoir dans une entité esthétique naquit de l’expérience qu’il fit pendant son expédition, alors qu’il était étudiant dans la région de Vologda, quand il découvrit les intérieurs colorés des fermes russes
A maintes reprises dans ses écrits il a parlé du fait de « se promener » dans ses tableaux
Le cercle était à ses yeux « le signe le plus révélateur de la quatrième dimension ». Il le préférait au triangle ou au carré
Par l’emploi du cercle Kandinsky donne au mouvement, véritable essence du temps, une nouvelle qualité visuelle
Avec une économie de couleurs ce tableau frise l’aridité
De l’étroit piédestal légèrement décalé de la partie inférieure de l’image des figures géométriques s’élèvent en éventail sur toute la surface du tableau de format carré jusqu’à former un triangle
Ces figures consistent pour la plupart en triangles assez grands fortement allongés et effilés ou en triangles isocèles de plus petite taille se terminant en forme de flèche qui soit contrarient, soit reprennent la direction des pointes inférieures
Un grand cercle domine au-
La couleur est répartie en nuages sur la configuration géométrique
Sur les bords de l’image, le fond tirant sur le jaune est laissé largement libre
Pour Kandinsky le cercle était « le chemin le plus évident vers la quatrième dimension »
Il utilisera le cercle pour faire du mouvement une composante visuelle de ses tableaux
L’artiste a choisi un carré parfait
Trois horizontales grises d’une épaisseur décroissante accentuent la résistance à l’approche du bord inférieur de la toile
Sur cette triple barre s’appuie un carré rouge et obliquement les angles aigus de plusieurs triangles allongés viennent s’y rencontrer
Ceux-
Le tout sert d’infrastructure à un grand cercle légèrement décalé sur la gauche dont l’envol semble imminent
En dehors d’une seule couleur primaire, le jaune, extrêment nuancé et d’une non-
Le cercle est comme un ballon prêt à suivre à tout moment un mouvement ascensionnel
Le thème de cette œuvre pourrait être celui de la montgolfière qui revient à plusieurs
reprises dans l’œuvre de Kandinsky vers 1929-
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DANS L’OBSCURITE
Cette aquarelle est une de celles dans lesquelles Kandinsky étudie la progression des couleurs primaires
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VERS LE VERT
Vers la fin des années 1920 Kandinsky réalise à Dessau de nombreuses aquarelles avec la technique de la projection utilisée depuis longtemps par son ami Paul Klee
Elles lui servent à étudier les rapports chromatiques grâce à des modèles de progression dans lesquels la forme géométrique n’est pas créée par la ligne de contour mais par la superposition d’œuvres pigmentées
Il traite ici la confrontation entre deux couleurs complémentaires, le rouge et le vert, par une délicate progression entre les formes et les couleurs
Kandinsky inaugure dans les aquarelles de cette période une nouvelle relation entre définition de l’espace et transparence des couleurs. « La transparence ouvre l’infini au regard »
Cette particularité de l’aquarelle permet à Kandinsky de résoudre le problème de l’intersection et de la superposition des plans colorés
Mais cette technique reste liée à ses yeux au registre de l’intimité
« Vers le vert », où un petit rectangle rouge sert de contrepoint au jeu de cercles, est dédicacé à Klee
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TABLEAU DANS LE TABLEAU (BILD UM BILD)
Kandinsky « La peinture abstraite peut en dehors des formes dites géométriques, très rigoureuses, faire usage d’un nombre illimité de formes dites libres et à côté des couleurs primaires employer une quantité illimitée de tonalités inépuisables
L’art abstrait n’exclut pas la liaison avec la nature mais au contraire cette liaison est plus grande plus intime
La forme inaccoutumée masque le fond : il en est ainsi chez la plupart des hommes. Le temps seul est capable de changer cet état de choses »
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VERS LE HAUT
Kandinky réfléchit sur l’utilité de la suggestion naturaliste dans les formes abstraites « Nettement séparées sont : à droite le réalisme pur, à gauche le pur constructivisme ; tous deux veulent franchir les limites de l’art et donc n’appartiennent plus à l’art. Le passage progressif de la forme naturelle à des formes purement abstraites se situe entre ces limites »
Le petit point dans le quart de cercle supérieur droit évoque peut-
L’allusion à la physionomie humaine n’est pas essentielle. Kandinsky met l’accent sur l’effet créé par la concaténation des formes à partir de la ligne verticale située au milieu du tableau
Effet de glissement « Vers le haut » créé par les deux demi-
L’artiste organise en premier lieu des formes géométriques auxquelles il ajoute progressivement des éléments pouvant suggérer une physionomie humaine
Il ne s’agit pas d’un processu de décantation des formes à partir d’une image réaliste mais d’une accumulation de signes abstraits
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DANS LE BLEU LIBRE
Kandinsky « Un triangle provoque une émotion vivante parce que lui-
Mais comme une couleur « isolée », le triangle « isolée » ne suffit pas pour une œuvre d’art
Si l’on fait un triangle avec des lignes très minces sur un bout de papier blanc, le blanc dans le triangle et le blanc autour du triangle sont diférents. Ils recouvrent des couleurs différentes sans qu’on ait appliqué de la couleur
Si vous ajoutez encore une couleur à ce triangle la somme des propositions augmente dans une proportion géométrique, ce n’est plus une addition mais une multiplication »
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DEUX CROIX
Au Bauhaus vers 1929-
Peu perturbé par cette ambiance, Kandinsky continue néammoins en dehors de ses activités pédagogiques à peindre devant son chevalet
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BLANC BLANC
Vers la fin des années 20 Kandinsky travaille sur de nouvelles tensions picturales
Configuration sévère d’éléments géométriques placés dans un rigoureux ordonnancement horizontal ou vertical
La sobriété de cette composition et l’utilisation des formes géométriques simples rappellent certaines œuvres de Paul Klee
Pendant leur séjour commun au Bauhaus de Dessau les deux artistes liés par une solide amitié arrivent parfois à des inventions picturales très proches
En 1929 Kandinsky fait la connaissance de Solomon Guggenheim qui lui rend visite au cours de l’été et lui achètera Composition VIII en 1923
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BIGARRE MAIS CALME
Au cours des dernières années au Bauhaus les oeuves de Kandinsky sont empreintes de légèreté et de sérénité
Des formes géométriques simples sont répétées et associées à des couleurs différentes
La composition repose sur la « variabilité de l’assemblage des formes » et sur « la variabilité de chaque forme jusqu’au plus petit détail »
Pour Kandinsky chaque élément « est aussi sensible qu’un petit nuage de fumée » le déplacement le plus imperceptible de l’une de ses parties le modifie d’une façon importante »
Les possibilités picturales peuvent résulter de :
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CAPRICIEUX -
Kandinsky dans ses tableaux a souvent utilisé une imagerie pleine d’humour
Sa faculté de jouer seur les mots en leur donnant un sens divers et son aptitude à voir et à apprécier, en toute chose, l’autre face constituent des éléments dominants de l’esprit de Kandinsky
La forme qui domine le tableau est proche de celle d’un vaisseau
Sur un mât à gauche des fanions de signalisation
A droite des motifs de rames
La forme triangulaire pointue peut-
Les silhouettes qui dansent et gesticulent seraient les membres d’équipage
La direction dans laquelle le bateau a l’air de voguer est ambigüe
La forme flottante semblable à un oiseau à droite pourrait être une mouette
La forme éliptique figurerait un poisson
Les segments de cercle à gauche seraient la configuration géométrique des vagues
D’un vide sans nuages un faisceau de rayons sur le bateau, effleurant au pasage quelque château aérien
Toute la configuration ressemble à un « vaisseau de l’espace » flottant dans un firmament doté de deux soleils et d’un croissant de lune qui a l’air d’être la figue de proue du bateau
Kandinsy a créé l’image fantasmagorique de la barque de Cléopâtre voguant sur le Nil
Un hommage à Paul Klee
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LES VOILES MOUVANTS -
En 1930 Kandinky et Klee étaient liés par une longu amitié
Leurs chemins s’étaient croisés au début du siècle à Munich
Klee en 1911 à propos de Kandinsky « J’ai apppris à voir en lui … il a un esprit exceptionnellement admirable et clair »
Klee rejoignit le Blaue Reiter
En 1930 tous deux enseignaient au Bauhaus. On les voit sur une photo imitant Goethe et Schiller sur la statue de bronze de Weimar
Parfaite entente pendant leur travail à la période du Bauhaus
Ils participent tous les deux au travail d’analyse des éléments de forme
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FLECHE VERS LE CERCLE
En 1930 Kandinsky fut impressionné par les mosaïques et les couleurs qu’il avait vues à Ravenne
Cette influence de Ravenne sera visible dans l’emploi des verts aux luminosités complexes
Selon Kandkinsky le vert « contient des forces paralysantes »
Parmi les différentes formes géométrique inscrites dans le plan du tableau c’est le cercle « qui s’approche le plus du calme incolore » parce qu’il ne connaît pas la violence de l’angle
Appuyée sur une bande bleue la flèche soulignée de rouge signale cette force calme
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Au cours des années 1928-
Les grandes formes rigoureusement géométriques tendent à diparaître au profit de formes plus petites et plus diverses
Son vocabulaire formel se compose dorénavant de formes géométriques régulières, de signes abstraits et parfois de configurations qui rappellent les figurines de décors de théâtre
Kandinsky utilise de plus en plus souvent des alignements ou encore des étagements
Cette orientation architecturale résulte peut-
De petites formes géométriques simples sont contenues dans une structure rectiligne
rouge et verte qui rappelle l’ossature d’un immeuble. Peut-
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Un certain nombre d’unités planétaires dont certaines entourées de leurs satellites semblent surgir de la nuit d’un cosmos inconnu
Lune et soleil semblent en état de mutation
Le calme total qui règne dans cette œuvre donne le sentiment d’un arrêt momentané de tout mouvement
On songe à un amalgame savamment organisé de formes circulaires à la fois puissantes et douces
Kandinsky dit du cercle qu’il « constitue une liaion avec le cosmique ». « Le cercle me captive car il est :
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ACCENTS POINTUS
Une combinaison riche de formes totalement géométriques évoluant sur diffférents plans et à des distances plus ou moins grandes les unes des autres
En elle se résolvent les contradictions entre :
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Des lignes courbes chevauchent des triangles isocèles, rencontrent des bandes verticales et horizontales tandis que des cercle s’interpénètrent
Sur un fond vibrant de nuances chaque surface est traitée en aplat ou en mouchetage avec une extrême délicatesse
L’aspect floconneux de la surface du triangle vert-
A droite, ave la fleur rose, ce qui naît
A gauche ce qui périt
La figuration blanche sur la tache diffuse, colorée en ocre, est de la décomposition et les ovales pointus granuleux sont comme de la terre
« Calme » a été considéré comme le tableau le plus romantique de Kandinky
KANDINSKY
TABLEAUX DE 1926 A 1931
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CERCLES DANS LE BRUN
La période de Dessau (1926-
Un grand nombre de ces œuvres sont essentiellement conçues selon le cercle
Plusieurs spectateurs les interprètent comme des « allégories cosmiques » alors que Kandinsky aurait souhaité que soient d’abord considérées les possibilités que cette forme renferme comme la synthèse des contradictions (silencieux/bruyant, stable/instable, concentrique/excentrique)
Les cercles forment une constellation qui change constamment selon que l’œil s’attache à telle ou telle partie et il est difficile de décider lesquels des cercles nous ont les plus proches ou les plus lointains
Le chevauchement de quelques cercles transaparents fait naître de nouvelles couleurs
L’utilisation de la transparence rappelle la technique de la peinture sur verre que Kandinsky maîtrisait parfaitement
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TIRANT SUR LE VIOLET
Pour Kandinsky la forme abstraite a une résonance plus grande que la forme figurative puisque l’objet « nuit » en peinture
Selon les préceptes de Kandinsky les couleurs aigües sonnent mieux dans une forme aigüe, ainsi que le rouge dans un triangle
Plus le bleu est profond, plus il attire l’homme vers l’infini et éveille en lui la nostalgie du pur
Plus le bleu s’éclaircit, plus il perd de la résonance jusqu’à devenir un calme muet et devenir blanc
Le violet procède d’un recul du rouge provoqué par le bleu et a tendance à s’éloigner de l’homme
Kandinsky présente ses considérations théoriques dans « Du spirituel dans l’art »
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ISOLE
Empreinte de légèreté cette œuvre pourrait résumer les éléments de la peinture analysés par Kandinsky dans « Point et ligne sur plan » paru à Munich en 1926
Le point pictural dont les dimensions et les formes peuvent varier est « la forme temporelle la plus concise »
Il possède une « tension concentrique » et une « sonorité » qui « dans l’abstrait est pleine et dévoilée »
« La ligne géométique est un être invisible. Elle est la trace du poin en mouvement, donc, son produit »
Elle est « la forme la plus concise de l’infinité des possibilités de mouvement :
mouvement froid pour la ligne horizontale, mouvement chaud pour la ligne verticale,
froid-
Le triangle et le cercle sont « comme la paire de surfaces originellement opposées »
Par correspondance le bleu et le jaune leur sont associés
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LIGNES DE SIGNES
L’artiste donne à ses petite figures un ordre à l’intérieur du tableau comme s’il organisait une procession de ces petites figures sur des lignes
Ce nouveau procédé semble évoquer un code hiéroglyphique inconnu qui crée de l’ordre sur la toile
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Entre 1930 et 1931 Kandinsky réalise de nombreux travaux en noir et blanc
Le succès d’une exposition l’incite à appliquer le noir et blanc à ses aquarelles
Pour Kandinsky dans cette aquarelle il ne s’agit pas de formes associées en fonction des caractéristiques géométriques de chacune. Kandinsky veut suggérer un certain rapport entre elles
La relation entre les éléments, le poids et les tensions qui les unissent précède et détermine leur forme
La définition de l’espace est volontairement incertaine : l’ancrage de la ligne diagonale à sa surface, sa « tension » comme le signale le titre est rendu au moyen d’éléments purement graphiques
Le rapport entre les éléments plus ou moins lumineux, la suggestion des formes géométriques auxquelles s’associent des impressions de poids différents, la fausse perspective des « fils » accrochés à la ligne centrale, tout sert à Kandinky à établir un jeu de forces opposées qui « parle » au spectateur par la seule magie du graphisme