ASSISE


Le 3 octobre 1226      François meurt à Assise

Le 17 juillet 1228        Canonisation et première pierre


En 1260 Bonaventure écrit la description officielle de la vie du saint

En 1266 le pape fait détruire toute autre tradition écrite de la vie de saint François pour éteindre le conflit entre :

- les spirituels qui tenaient au commandement de pauvreté du fondateur

- les modérés attachés au droit de l’Eglise à la propriété


Deux églises :

- la basilique inférieure, culte de la tombe de François

- la basilique supérieure, sanctuaire hautement représentatif de la puissance de l’Eglise


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Technique de la fresque


1- composition reportée sur l’enduit sec à partir d’un dessin dont les lignes sont renforcée avec des tons rouges (sinope)

2- application, segment par segment, d’une fiche couche d’enduit de chaux humide avec laquelle les  pigments solubles de la peinture se combinent chimiquement ; cette peinture sur la chaux humide n’est possible qu’en une journée (giornata)

A la différence de la peinture sur enduit sec on perd en vitesse d’exécution mais on gagne en durabilité et en possibilité de nuances


LA VIE DE SAINT FRANCOIS      en 28 tableaux


1  Un homme étend son manteau devant le jeune François


Encore jeune homme, François étonnait par le charme de sa personne.

Sa courtoisie, sa libéralité et son entrain lui attiraient toutes les sympathies.

Sa  nature privilégiée laissait prévoir un destin hors du commun.

Un homme d’Assise, un simple d’esprit, dit-on, mais éclairé par Dieu, ne manquait pas, quand il rencontrait François en ville, d’ôter son manteau et de l’étendre sous les pieds du jeune homme, affirmant qu’il serait un jour digne du plus grand respect, qu’il accomplirait bientôt de grandes choses et mériterait ainsi la vénération de tous.

2  François donne son manteau à un chevalier pauvre


Avant sa conversion à l’Evangile, le jeune François aimait parcourir à cheval la campagne d’Assise.

Fils d’un riche marchand drapier, il était toujours vêtu élégamment et faisait dans son coeur des rêves de gloire.

Un jour il rencontra sur sa route un chevalier noble de naissance mais pauvre : l’homme, sans monture, mal vêtu, cachait mal sa honte devant ce jeune bourgeois aux allures de seigneur.

Pris de compassion, François saute aussitôt à bas de son cheval, va vers lui et lui offre son riche manteau.



3  La vision du palais


La  nuit qui suivit son geste en faveur du chevalier pauvre, François eut un songe.

Il vit, dans son sommeil, un merveilleux palais dont les salles resplendissaient de l’éclat de toutes sortes d’armes.

Emerveillé, François se demandait à qui toutes ces armes étaient destinées.

Une voix lui dit : « A toi et à tes chevaliers »


Ne sachant encore pénétrer les mystères de Dieu et voir dans les choses visibles les signes de la réalité invisible, François se réveilla, persuadé que cette vision lui annonçait un avenir de gloire militaire.


4  François devant le crucifix de Saint Damien


Tournant le dos à sa vie mondaine, le jeune François se retirait volontiers dans la solitude pour prier.

Un jour il entra dans la  petite église Saint Damien, une église abandonnée, presque en ruine, de la campagne d’Assise.

Il se mit à prier devant le crucifix : « Dieu très haut et glorieux, viens éclairer les ténèbres de mon coeur ; donne moi une foi droite, une espérance solide et une parfaite charité ; donne moi de sentir et de connaître, afin que je puisse l’accomplir, ta volonté sainte qui ne saurait m’égarer ».

Et voici qu’une voix, venant du crucifix, l’interpelle : « François, va et répare ma maison qui tombe en ruine ».

Stupéfait, tremblant, ne sachant que répondre, mais résolu, il se mit en devoir de réparer la chapelle en ruine.

Plus tard, l’Esprit lui fit comprendre qu’il ne s’agissait pas de réparer une  bâtisse de pierre, mais l’Eglise vivante du Christ


5  Assigné par son père devant l’évêque,

François se dépouille de tout


Pietro Bernardone, le riche marchand drapier, avait mis son orgueil et ses espérances dans son fils François.

Quelle ne fut pas sa déconvenue quand ce dernier décida de vivre dans la compagnie des plus pauvres et même des lépreux !

Le père en était humilié, irrité.

Un jour, il apprend que son fils a vendu une pièce de drap pour payer la restauration d’une chapelle abandonnée ; il entre alors dans une colère bleue.

Il exige la restitution de son argent et cite son fils au tribunal de l’évêque en vue de le déshériter.


Devant l’évêque, François non seulement rend l’argent, mais il se dépouille de ses vêtements.

Et tandis que le prélat le couvre de son manteau, il déclare : « Pietro Bernardone n’est plus mon père ... Désormais c’est en toute liberté que je pourrai dire : Notre Père qui es aux cieux ! »

C’était le cri d’une nouvelle naissance.

6  Le songe d’Innocent III


Peu avant l’arrivée à Rome de François et de ses premiers frères, le pape Innoncent III vit en songe l’église Saint Jean de Latran pencher dangereusement, quand un religieux, d’allure chétive, s’approcha de l’édifice et, d’un coup d’épaule, le retint et le redressa.

Le pape se réveilla fortement impressionné. Ce rêve traduisait bien son angoisse devant la situation de l’Eglise qui était, à l’époque, ravagée par de multiples sectes ou hérésies.

Mais qui donc était ce religieux inconnu, capable de redresser la situation ?


Or voici que, quelques jours plus tard, François vint soumettre au pape son  projet  de vie évangélique .


Innocent III ne put s’empêcher de faire la relation avec ce qu’il avait vu en songe. « Voilà, se dit-il, le religieux par qui l’Eglise de Dieu sera relevée ».


7  Le pape Innocent III approuve la règle de François


Dans son « Testament », François a écrit : « Après que le Seigneur m’eut donné des frères, personne ne me montra ce que je devais faire.

Mais le Très-Haut lui-même me révéla que je devais vivre selon le saint Evangile.

Alors je fis rédiger un texte en peu de mots bien simples et le seigneur pape me l’approuva ».


Sur cette fresque, nous voyons François avec les premiers frères devant le pape Innocent III.

Son projet de vie suscita quelques inquiétudes chez les conseillers du pape.

Ils le trouvèrent trop radical.

Mais le cardinal Jean de Saint-Paul fit remarquer que cette règle ne faisait que reprendre certaines paroles de l’Evangile.

Le pape, qui voyait les mouvements évangéliques se multiplier en dehors de l’Eglise, pensa qu’il était urgent d’ouvrir des voies nouvelles.

Et il approuva le projet évangélique de François.



7  Le pape Innocent III approuve la règle de François


Dans son « Testament », François a écrit : « Après que le Seigneur m’eut donné des frères, personne ne me montra ce que je devais faire.

Mais le Très-Haut lui-même me révéla que je devais vivre selon le saint Evangile.

Alors je fis rédiger un texte en peu de mots bien simples et le seigneur pape me l’approuva ».


Sur cette fresque, nous voyons François avec les premiers frères devant le pape Innocent III.

Son projet de vie suscita quelques inquiétudes chez les conseillers du pape.

Ils le trouvèrent trop radical.

Mais le cardinal Jean de Saint-Paul fit remarquer que cette règle ne faisait que reprendre certaines paroles de l’Evangile.

Le pape, qui voyait les mouvements évangéliques se multiplier en dehors de l’Eglise, pensa qu’il était urgent d’ouvrir des voies nouvelles.

Et il approuva le projet évangélique de François.



8  Le char de feu


Une nuit, François était absent, et la petite communauté des frères, encore à ses débuts, était laissée à elle-même.

Or, vers minuit – certains frères dormaient, les autres priaient – un char de feu d’une merveilleuse splendeur, surmonté d’un globe resplendissant comme un soleil, entra dans la chaumière des frères par la petite porte et fit trois fois le tour de la pièce.


Stupeur des frères qui veillaient, réveil terrifié de ceux qui dormaient. Tous se demandaient quel était ce prodige. Mais, éclairés par cette lumière qui atteignaient leur coeurs, ils comprirent que c’était l’âme de leur père qui resplendissait d’un éclat : l’éclat de l’âme qui, dans sa traversée nocturne, accepte de passer par la petite porte.


9  La vision des trônes célestes


Le frère Pacifique accompagnait François en voyage.

Ils entrèrent tous deux dans une église déserte.

François se prosterna au pied de l’autel.

Pacifique, un peu en retrait, se mit à prier lui aussi.

Ravi en extase, il vit dans le ciel une série de sièges et, à la place d’honneur, un trône rehaussé de pierres précieuses étincelantes.

Ebloui, il se demandait à qui était destiné ce trône de gloire.

Une voix lui dit : « C’était le trône de Lucifer, le prince des anges déchus. Il est maintenant réservé à l’humble François. Sache que cet homme très humble sera élevé, à cause de son humilité, jusqu’au trône jadis perdu par orgueil ».



10  François chasse les démons de la ville d’Arezzo


Un jour, passant par Arezzo, François trouva la ville en état d’émeute.

Comme il logeait dans le faubourg, hors des remparts, il vit des démons qui dansaient une folle sarabande au-dessus de la ville et poussaient les habitants à s’entre-déchirer.

Il appela frère Sylvestre et lui dit : « Va devant les portes de la ville et ordonne aux démons, de la part du Dieu puissant, de s’’enfuir au plus tôt ».

Le frère alla crier à tue-tête devant la porte ce que François lui avait dit.

Aussitôt les démons de la discorde prirent la fuite.

Et la ville retrouva la paix en peu de temps.



11 François devant le sultan, L’épreuve du feu


Au cours de la cinquième croisade, François se rendit au Proche-Orient. Il voulait rencontrer le sultant pour lui annoncer l’Evangile. Dans le secret de son cœur il désirait le martyre.

Arrêté par une patrouille musulmane, il échappa de peu à la mort.

Il demanda à être conduit en présence du sultan.

Celui-ci le recut avec beaucoup de courtoisie et l’écouta avec plaisir. Il l’invita même à prolonger son séjour.


On raconte que François dans son désir de convertir le sultan à la foi chrétienne, lui proposa d’allumer un grand brasier.

« J’entrerai dans les flammes avec tes théologiens, dit-il, et tu pourras juger quelle est la plus sainte des deux croyances ».

Le sultan lui aurait répondu : « Je doute que mes théologiens veuillent, pour leur foi, subir l’épreuve du feu ».

On les voit ici s’éloigner du brasier.


12  L’extase de Saint François


Souvent sur les routes de l’Italie, François n’en était pas moins un homme de prière.

Sa contemplation était telle qu’il devenait étranger à tout ce qui se passait autour de lui.

La joie de l’Esprit fondait sur lui.

Et l’immense douceur de Dieu pénétrait tout son être.


Des frères qui l’épiaient filialement le surprirent, un jour, en prière, les bras en croix, soulevé de terre et rayonnant de la lumière qui habitait son âme.


François disait à ses frères « Vous devez désirer par-dessus tout avoir l’Esprit du Seigneur et le laisser agir en vous »



13  François célèbre la Noël à Greccio


Noël 1223. Dans le cœur du Petit Pauvre avait jailli une idée neuve et merveilleuse, comme seuls les poètes en ont parfois : « Je veux évoquer le souvenir de l’Enfant qui naquit à Bethléem, dit François à ses frères, je veux le voir, de mes yeux de chair, tel qu’il était, couché dans une mangeoire et dormant sur le foin, entre un bœuf et un âne ».


François confia son projet à son ami le seigneur Jean. Celui-ci choisit une grotte près de Greccio. Une mangeoire garnie de foin y fut installée. On y amena un âne et un bœuf.


La nuit de Noël, les villageois vinrent nombreux à la grotte.

François, en qualité de diacre, chanta l’Evangile.

La messe fut célébrée sur la mangeoire comme autel.


Un témoin raconte qu’il vit, couché dans la mangeoire, un petit enfant immobile que l’approche du saint parut éveiller.

En cette nuit de Noël, à Greccio, la chrétienté avait retrouvé des yeux d’enfant.


14  Le miracle de la source


François, trop faible pour faire la route à pied, montait à l’Alverne à dos d’âne. Le paysan qui avait mis la bête à sa disposition l’accompagnait.

On était au mois d’août. La chaleur était grande, et l’ascension de la montagne pénible. A mi-chemin, le paysan se mit à gémir : « Je n’en peux plus, je meurs de soif ».

Pris de compassion, François descendit de l’âne, s’agenouilla et pria. Puis s’adressant au paysan, il lui dit : « Cours vers cette roche. Le Seigneur vient d’en faire jaillir une source d’eau vive ».

Le paysan se précipita vers l’endroit indiqué. Et à la vue de l’eau jaillissante, il se plaqua au sol pour en boire avidement.


On remarquera sur cette fresque le double mouvement qui compose la spiritualité franciscaine : l’élan vers le Très Haut (François en prière épousant l’élévation de la montagne) et la communion à la création (le paysan plaqué au sol et buvant à la source).



15  La prédication aux oiseaux


Un jour qu’il approchait de Bevagna, François vit dans un champ toutes sortes d’oiseaux rassemblés par bandes entières.

Aussitôt il courut vers eux.

Loin de s’envoler, les oiseaux l’attendaient.

Il leur adressa son salut habituel : « Que le Seigneur vous donne la paix ! »

Puis il leur dit :

« Mes frères les oiseaux, vous avez bien sujet de louer votre Créateur et de l’aimer. Il vous a donné des ailes. A vous, l’espace, le ciel et la liberté. Vous n’avez ni à semer ni à moissonner. Tout vous est donné »


Et tandis qu’il leur parlait, les oiseaux exprimaient leur joie : ils allongeaient le cou, battaient des ailes, ouvraient le bec …

Et lui allait et venait au milieu d’eux, les frôlant de sa tunique.

Puis il les bénit et les invita à s’envoler.



La mort du chevalier de Celano


Venu à Celano pour y prêcher, François fut invité à dîner par un chevalier qui le vénérait.

Mais avant de se mettre à table, il tira à part son hôte et lui dit : « Frère, fais vite ce que je vais te dire. Car ce  n’est pas ici, mais ailleurs que tu vas dîner : confesse tes péchés avec contrition.

Le Seigneur, en effet, aujourd’hui même, va te récompenser de ta générosité ».


Le chevalier s’empressa de confesser tous ses péchés au frère qui accompagnait François.

On passa alors à table, quand tout à coup le chevalier s’effondra, frappé d’une mort subite.



17  Prédication devant le pape Honorius


Appelé à Rome pour les affaires de l’ordre, François fit part à son ami et protecteur, le cardinal Ugolin, de son désir de parler au pape et aux cardinaux.


Admis en présence du chef de l’Eglise et des cardinaux, François recut la bénédiction et la permission de parler.

Alors, rempli de la ferveur de l’Esprit, il laissa parler son cœur.

Tout en parlant, il allait et venait, dansant presque, non pas comme un saltimbanque, mais comme un homme ivre de Dieu.


Loin de provoquer les sourires – ce que redoutait son ami le cardinal Ugolin – il fit couler les larmes.

Tous étaient très émus et saisis d’admiration.


18  L’apparition au chapitre d’Arles


Les frères de la Province de Provence étaient réunis au chapitre d’Arles.

Or, tandis qu’ils écoutaient attentivement le frère Antoine qui leur faisait un exposé sur le titre de la Croix Jésus de Nazareth, roi des juifs, voici que l’un des frères, nommé Monaldo, tournant le regard vers la porte, vit apparaître saint François, en personne, élevé de terre, ouvrant les bras comme pour bénir l’assemblée des frères.



19  Saint François reçoit les stigmates


Au mois d’août 1224, deux ans avant sa mort, François s’était retiré sur la montagne de l’Alverne.

La pensée de la Passion du Seigneur ne le quittait plus.

Un matin, alors qu’il priait sur le versant de la montagne, il vit descendre du ciel un être ailé, un être de feu et de lumière : un séraphin aux six ailes resplendissantes, comme dans la vision du prophète Ezéchiel.

Mais cet être glorieux était aussi un homme crucifié.

Ses mains et ses pieds étaient transpercés.


François contemplait ce spectacle, à la fois émerveillé par la beauté du séraphin et atterré par ses souffrances.

Et soudain la vision fondit sur lui comme un oiseau de  proie, transperçant ses mains, ses pieds et son côté.

Il était marqué désormais du sceau de la croix glorieuse.



20  La mort de saint François


Le 3 octobre 1226 au soir, François vivait ses dernières heures.

Il se fit apporter le livre des Evangiles et demanda qu’on lui lût le passage de saint Jean : « Jésus, sachant que son heure était venue de passer de ce monde à son Père, ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’à la fin …  »

Puis il récita, comme il put, le psaume 141 «  Ma voix crie vers Yahvé, je suis à bout de forces … Tire-moi de la prison ».


Enfin, « l’heure vint, écrit Thomas de Celano, où tous les mystères du Christ s’étant réalisés en lui, son âme s’envola dans la joie de Dieu ».

François n’avait pas encore 45 ans.

La nouvelle de sa mort se répandit très vite, soulevant un grand émoi dans la cité d’Assise.

Les frères accoururent, bouleversés.

L’homme fraternel s’en était allé.

Qui désormais serait assez pauvre pour être le frère de tous ?



21  L’apparition à frère Augustin et à l’évêque d’Assise


Cette fresque évoque deux apparitions de François, survenues aussitôt après sa mort :


A gauche, l’appariton à frère Augustin : ce frère était lui-même mourant ; il avait déjà perdu la parole, quand, à la stupeur de ceux qui l’entouraient, il s’écria soudain : « Attends-moi, père, attends-moi ! j’arrive, je viens avec toi ».

Abasourdis, les frères lui demandent à qui il parle ainsi.

Et lui de répondre : « Eh ! Ne voyez-vous pas notre père François qui part au ciel , »


A droite du tableau, l’évêque d’Assise à qui François est apparu dans son sommeil pour lui annoncer sa mort.

Le prélat était alors en pèlerinage.

De retour à Assise, il s’informa et acquit la certitude que François avait tenu à lui annoncer lui-même la nouvelle de son entrée au ciel.


22  La vérification des stigmates


Jusqu’à sa mort, François avait toujours eu soin de tenir cachées les marques de la Passion qu’il avait recues dans son corps, sur l’Alverne.


Seuls quelques intimes, comme frère Léon, avaient pu les voir.

Maintenant qu’il avait quitté ce monde, tous pouvaient constater les blessures de la Passion dans ses mains, ses pieds et son côté.

Il offrait ainsi une image impressionnante du Christ crucifié et comme une préfiguration de sa Résurrection.


Aussi, beaucoup de frères et d’habitants d’Assise accoururent et purent contempler les stigmates de Jésus-Christ que François portaient dans son corps


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