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Première  Page  de  DUFY

Le casino de Nice  1929

Le monument, peint à plusieurs reprises par Dufy, ressemble à un mélange de mosquée orientale.

Les tons jaunes, orange, bleu et vert saisissent parfaitement l’atmosphère artificielle et fugace de la riviera française.

Contraste entre le casino massif et imposant et le temps orageux et léger.

Instabilité atmosphérique traduite par des drapeaux claquant dans le vent, la surface agitée de la méditerranée et le ciel changeant fait de bandes dentelées.

Tableau animé par une dynamique entre le calme et le mouvement.

 

 

Intérieur avec Hindoue  1930

Ici le modèle n’est pas écrasée par le mobilier : elle est le centre d’intérêt.

Fauteuil confortable et somptueux sari traditionnel.

Charmante nature morte de fleurs sur la table à gauche.

Lors d’un voyage au Maroc il fut fasciné par tout ce qui était exotique.

 

 

 

Courses à Goodwood  1930

Dufy découvrit les courses pour voir ce que les femmes y portaient mais il prit intérêt à la course.

Monochromie de bleu-vert souple et légère.

Spectateurs presque accessoires, représentés par des tâches de noir brun.

Le pinceau déborde le contour des formes ce qui produit une sensation de grande verdeur.

La tension provient des chevaux qui galopent, la foule  ne participe pas à l’excitation.

 

 

Le paddock à Deauville  1930

Deauville est la Mecque des amateurs de chevaux.

Dufy observait les rites qui précèdent la course.

Les chevaux et les jockeys ne sont dessinés que superficiellement et dans des couleurs pas naturelles.

Nous voyons l’enceinte émeraude où s’entraînent les chevaux rassemblés avant les courses.

Les feuilles présentées de façon enjouée annoncent la fièvre qui allait suivre ce prélude paisible.

Maîtrise des bleux, des rouges et des verts.

 

 

La grille  1930

Dufy aimait peindre des châteaux construits pour l’aristocratie. C’est la grille du château du baron de Rothschild.

Courbes gracieuses du treillage formé d’horizontales et de verticales.

Atmosphère de calme confirmée par l’harmonie des couleurs principales : les jaunes, les verts et les bleus.

Les tâches de couleur vive apportées par les deux maisons créent une vibration dynamique dans cette composition essentiellement calme.

 

 

Portrait de Madame Dufy  1930.

Madame Dufy, Eugénie, était originaire de Nice et employée comme modiste dans un magasin du Havre avant son mariage.

Toile austère : à part le tapis de la table aux couleurs gaies et le dossier d’un fauteuil vieillot il n’y a rien pour distraire l’œil du modèle assis.

Femme élégante, patiente, renfermée dont la silhouette de matrone se retrouve dans la partie centrale du fauteuil.

Contraste entre le visage paisible et les mains agitées.

Dufy utilise le dessin chargé de la robe et du tapis de la table pour mettre en relief la nervosité des mains.

Il utilise l’arrière-plan d’un bleu serein pour appuyer l’expression du visage.

Les bras forment un triangle au sommet duquel les doigts s’écartent comme des pétales pour supporter la tête.

Le corsage est confectionné dans un tissu conçu par l’artiste et dont le fond jaune à impression noire constitue un tableau dans le tableau.

 

 

Paddock  1930

Les chevaux dans la lumière sont soumis au ton ambiant vert.

Au second plan ils subissent le bleu, couleur de l’ombre sous les arbres.

La clarté blanche qui se réfléchit sur les boxes du fond donne aux silhouettes une certaine transparence.

 

 

 

Régates à Cowes  1930

Dufy qui pense que l’espace est inséparable de la sensation, crée une perspective mentale qui lui permet de donner toute leur importance aux éléments les plus lointains du tableau 

 

 

Epsom, défilé du Derby  1930

Dufy a sacrifié à la mode en flattant son public qui aimait les courses de chevaux (et les régates).

Mais il ne le fit jamais en bâclant son travail.

Parfaite connaissance des attitudes du cheval et du cavalier, capacité à rendre les moments privilégiés du cérémonial des courses, talent pour représenter des élégantes ou donner des vues d’ensemble.

Malgré la densité de la composition le peintre parvient à donner une vision synthétique de l’évènement.

« Peindre, c’est voir pour les autres », disait Dufy.

Deux modèles  1930

La présence de deux modèles est exceptionnelle.

Décor habituel de l’atelier : palette, table, carton à dessin, toile sur le chevalet.

Il disait pour atténuer l’aspect aguicheur du sujet « Je peins des nus de femmes et pas des femmes nues »

Il admirait Boucher.

Il dessine le corps de ses modèles avec tendresse.

Une certaine maladresse dans le contour et la couleur uniforme de la chair confèrent à ces personnages aux attitudes timides une vérité pleine de candeur.

Importance réservée à l’expression du visage.

Les nus de Dufy sont ceux de femmes vues avec amour et respect. Jamais Dufy ne règle de comptes avec l’autre sexe.

 

 

Trente ans ou la vie en rose  1931

La tonalité rose domine ce coin de salon envahi par la présence légère et festive des fleurs.

Dufy fête ses trente ans de vie parisienne.

En guise de tableau au mur, le carré de coton « Amours, délices et orgues » réalisé pour Bianchini en 1925.

Dufy  cite ses propres œuvres avec complaisance.

Il porte à l’apothéose son motif préféré : la rose.

Ce qui aurait pu être doucereux et mièvre s’accomplit avec force et beauté.

Le tempérament du peintre efface les chagrins et les difficultés multiples de sa vie et de sa carrière pour n’en retenir qu’une image heureuse.

 

 

Le grand champ de blé  1933

Pour Dufy la nature est bien plus qu’un dictionnaire.

« Ce n’est pas la nature qui peut inciter à connaître l’art, c’est l’art plutôt qui permet de saisir dans la nature ce qu’il y a d’émouvant et d’essentiel »

Le peintre a sa propre vision. Il n’est pas dépendant de la nature, il isole son objet et lui crée sa propre lumière avec sa couleur.

Le champ de blé est donc un morceau de nature recréé. Le monde est regardé, son spectacle décanté, réorganisé dans son image peinte.

Maisons à Trouville  1933

Dufy a traduit son plaisir d’observateur par des tâches de couleur comme la robe jaune et les lignes hachurées.

Constructions peintes avec des couleurs intenses  au centre du tableau, intensité qui diminue vers les bords ; il crée ainsi une dimension d’espace en largeur plus qu’en profondeur.

Les rayures horizontales des immeubles accentuent la recherche d’espace horizontal créé par la couleur.

 

 

Régates à Deauville  1934

Dufy aimait voir les voiliers aux mâts élancés donner brusquement de la gîte au cours d’une journée ventée.

On peut voir entre les voiles les rangées de belles constructions qui bordent la promenade.

Premier plan de bateaux fait de grandes lignes sans attention au détail ; à l’arrière-plan coups de pinceaux précis pour décrire les maisons avec détail.

Les zones de la mer sont juxtaposées sans aucune transition.

 

Le bassin de Deauville  1935

Remarquables effets combinés de lignes horizontales, verticales et diagonales ;

Traînées larges et rapides qui servent à représenter l’eau et le ciel.

On perçoit l’activité des sportifs par la vitalité des traits hardis et vigoureux.

Il utilise les couleurs à l’huile avec légèreté et sans précision, en touches fines qui donnent au tableau l’apparence d’une aquarelle.

Le champ de courses de Deauville  1935

Composition aérienne et transparente.

Teintes vivantes passant du lavande au bleu, au vert et au jaune.

Seule la partie centrale a des couleurs naturelles, vert et bleu pour l’herbe et le ciel.

Les formes sont des contours dessinés à la hâte.

Seuls les personnages de premier plan sont rendus de façon opaque.

Chevaux de course  1935

Définis dans leurs contours avec décision les chevaux sont habillés de toutes les couleurs qui les affectent successivement : ombre brune des arbres, reflets bleus du ciel, vert des gazons.

 

 

Henley, régates aux drapeaux  1935

Il y a du reporter en Dufy.

Il se fait chasseur d’images pour ces manifestations brillantes que sont les fêtes, les concours nautiques et même les funérailles nationales.

Il rend compte de l’évènement, drapeaux se déployant, bariolages frémissant pour une foule fringante.

Ici, la peinture à l’huile atteint la légèreté de l’aquarelle en décrivant en touches fluides l’eau et les drapeaux, si transparents qu’à travers eux on distingue les bâtiments alignés sur la berge.

L’agitation des canots, la silhouette des rameurs, tout participe à une délicieuse et joyeuse confusion.

 

L’Hindoue  1928

L’exotisme voluptueux des odalisques a beaucoup inspiré les artistes de la génération de Dufy.

Dufy aborde le genre avec un style d’une extrême légèreté.

Chez Dufy, nue ou vêtue, l’Hindoue ne devient jamais un signe presque abstrait.

Anmavati Pontry, le modèle favori de Dufy, est entourée d’une profusion de motifs décoratifs qui n’ôtent rien à son individualité.

L’artiste confère au corps une mobilité douce. Le visage ferme s’impose dans l’environnement coloré.

 

 

La Jetée, promenade à Nice  1928

Dufy aime les architectures compliquées propices au songe. Les fontaines baroques, les kiosques à musique, les palaces aux murs dentelés apparaissent souvent dans ses tableaux.

Dufy a donné plusieurs vues du casino qu’il continuera à peindre après sa destruction.

Pour figurer le bâtiment à coupole l’artiste joue d’aplats colorés, de lignes sinueuses, de formes fantasmagoriques se détachant sur un ciel méditerranéen.

Dufy marque sa fidélité aux bonheurs passés, source inépuisable d’évasion.

Nice, la promenade des anglais aux  mouettes  1929

Carte postale de luxe que l’artiste exécute encore une fois. C’est la quintessence du lieu qui est livrée ici intacte.

Baie des Anges, rythmée par le tronc rugueux des palmiers, les maisons serrées, le casino en saillie, les voitures à cheval et les automobiles des années 30.

Le bleu dominant envahit la toile.

D’épaisses hachures hâtives laissent deviner le vent à travers les palmiers.

Les mouettes planent au-dessus des passants. Leur taille est exagérée par rapport aux règles de la perspective.

Le peintre grossit les choses les plus immatérielles (oiseaux, nuages, papillons) comme s’il voulait leur rendre leur importance au sein d’un univers.

Les mouettes décrivent un cercle déréglant l’ordre rigoureux de l’espace et ce déséquilibre ouvre une place au rêve.

 

 

Intérieur à la fenêtre ouverte  1928

L’intérieur, salon ou atelier, et la fenêtre sont deux thèmes indissolublement liés à Dufy.

Magie du dehors, intimité du dedans, créent des tensions mystérieuses.

« Il dessinait des fenêtres comme s’il dessinait des oiseaux »

Il sait orchestrer des espaces et malgré le risque de la confusion tente la poétique de la réalité.

 

 

L’avenue du Bois de Boulogne  1928

Dufy  se plaisait à dire qu’un cheval photographié en pleine course est irrémédiablement stoppé dans son élan tandis que réduit à un signe par la main de l’artiste il continue à galoper.

Ainsi ses paysages respirent, ses parcs et ses places mettent en scène les petits incidents d’une vie insouciante et légère.

Cette vue du Bois de Boulogne a la régularité d’une frise : frontalité du bâtiment, alignement des chaises, défilé des chevaux ; tout est d’un équilibre parfait.

Seul l’oiseau au premier plan nous rappelle que le hasard peut à tout instant introduire l’irrationnel dans l’ordonnance sage du tableau.

Le casino de Nice  1927

Œuvre caractéristique du style de Dufy.

Le ton ambiant, ciel et mer, que rien ne distingue plus baigne l’ensemble de la composition.

Le ton local domine seulement pour quelques détails (mur du casino, sable de la promenade, vert de la pelouse).

Ces masses s’imposent à leur tour à toute la partie de la composition qu’elles recouvrent.

 

 

 

Nu  1928

Chaque artiste a une conviction sur la façon dont il faut présenter le nu féminin.

Modigliani, son contemporain, dotait les femmes d’un corps allongé. Les nus de Dufy ne sont pas aussi paisibles.

Ici, nu trop plantureux pour être séduisant. Décor de l’atelier de Dufy de l’impasse de Guelma à Montmartre.

Cartons à dessin, tableaux contre le mur et tapis aux motifs somptueux.

Nu mis en valeur par le mur bleu et plat.

Contraste entre les lignes musclées, onduleuses et voluptueuses du personnage et les formes géométriques du plancher, des murs, des chevalets et des tableaux.

 

 

Modèle Hindou , atelier de l’impasse Guelma  1928

L’impasse Guelma était pour Dufy, de 1911 à sa mort en 1953, « un petit refuge en plein cœur de Montmartre, mais préservé du bruit »

Le modèle est un prétexte à rendre le soyeux du sari coloré aux riches motifs qui s’harmonisent avec les tapis d’Orient tous différents.

L’entassement des objets est préservé du chaos visuel par l’étendue paisible des murs bleus et du sol brun.

 

 

 

Le couscous chez le pacha de Marrakech  1926

Dufy écrit : « Quand je rentrerait du Maroc il n’y aura plus aucune goutte. Les aquarellistes qui s’y hasarderont après moi devront attendre la prochaine saison des pluies. Seule l’aquarelle peut rendre l’atmosphère d’un pays où la lumière blanche du soleil dématérialise les surfaces jusqu’à la transparence. »

Il fait le récit de son voyage fastueux par une série d’aquarelles couvertes d’arabesques.

Le dessin superpose les grilles de ses motifs répétés.

Il signe en se représentant de dos au bas de l’aquarelle.

 

 

 

L’orchestre à Arles  1926

Couleurs disposées pour donner un effet de surprise.

Eclat des rayons lumineux sur les flammes et les façades tandis que les éléments du sujet sont presque oubliés dans la masse d’ombre.

 

 

 

Marine 1926

Pour traduire l’effet de la mer Dufy ponctue l’étendue d’angles bleus ou noirs pareils à des accents circonflexes.

Dufy met le premier plan au milieu du tableau parce que les objets prennent leur dimension colorée à une certaine distance.

A la périphérie de la composition les vagues ne sont plus qu’une légère ondulation.

 

 

 

Le cirque  1926

Dufy considère que la ligne en tant que contour se déplace, insaisissable, tandis que la couleur plus lente imprègne la vue, produisant un effet autonome.

Il en tire un système : son dessin fera le récit des faits tandis que la couleur créera par ses modulations l’espace du tableau.

Ici, dessin et couleur se juxtaposent.

Les chevaux faisant la ronde autour de leur dresseur évoluent avec brio et légèreté.

Le corps des bêtes à l’ampleur et la robustesse de statues.

Dufy observe avec justesse les particularités des chevaux qu’ils soient de course, de cirque ou de trait.

Le bleu qui prédomine évoque la lumière irréelle du monde du cirque.

Pour Dufy « le bleu est la seule couleur qui conserve partout sa propre individualité ».

 

 

 

Le Vert Galant  1926

Statue d’Henri IV qui fait face au Pont Neuf qui joint l’île de la Cité à la rive droite et à la rive gauche.

Au premier plan, clôtures obliques, grille bariolée et arbres en mouvement.

Dôme du Panthéon à gauche.

 

 

 

Paysage de l’Estérel  1926

Le sol de l’Estérel est composé de roches de porphyre.

Trois couleurs : bleu, vert et rouge.

Notes dominantes rehaussées par le noir du tronc d’arbre et des accents de points blancs et de lignes courbes.

Il s’agit d’un paysage fauve.

La fidélité envers la nature a cédé la place à la sincérité de l’expression. L’artiste s’écarte de la reproduction objective des apparences pour une création totalement subjective.

 

 

Rameurs sur la Marne  1925

La barque était un sujet des impressionnistes.

Ce tableau pourrait être utilisé comme un décor pour un ballet ou une comédie musicale. Les mouvements des personnages ont une posture aussi précise que semblable à celle de danseurs. Dufy évoque chaque détail bien qu’il soit difficile de les voir nettement. Les couleurs dominantes sont des variations de vert.

Accents intenses apportés par le rouge de la porte, le rose de la façade et le jaune du bateau sur la gauche.

Couleurs si arbitraires que les eaux de la Marne sont du même vert qu’une pelouse et près du bord prennent le bleu délicat du ciel.

Lumière limpide que l’on attend d’une aquarelle et non d’une peinture à l’huile.

Evanescence et spontanéité.

Dufy traçait les formes en noir sur un fond coloré, puis laissait l’objet ou les personnages évidés de façon que le fond de couleur transparaisse (toit de la maison, personnages, rames, bateau coin droit et appontement sur la gauche).

Comme un aquarelliste il laisse apparaître le papier blanc intact pour illuminer le tableau et lui donne de la luminosité.

 

 

Bateaux au Havre  1926

Whistler : « Alors que la musique est la poésie des sons, la peinture est la poésie de la vue. La nature du sujet n’a rien à voir avec l’harmonie des sons et des couleurs ».

Symphonie de bleus voluptueux.

Bleu rehaussé de tâches de blanc (les voiles), de bruns (les mâts et la fumée) et de verts et jaunes (papillons) ;

Pour Dufy la peinture deviendrait superflue si elle s’attachait seulement à la reproduction photographique.

 

 

Caltagirone  1923

Dans ses œuvres de Sicile, Dufy représente des petites villes étagées qui paraissent monter à l’assaut des nuages.

Ponctuation du ton foncé des bistres et des jaunes.

Tendance de Dufy à agrandir les lointains pour leur donner une forme lisible.

Aisance à définir des sujet analogues par une simple répétition de lignes et de signes élémentaires.

 

 

 

Bords de la Marne, les canotiers  1925

A partir de 1919 Dufy peint les bords de la Marne.

Un cadrage s’impose ; les variations sont introduites par le détail.

La Marne coule verte devant un pavillon situé au cœur du tableau.

Le dessin à souples traits noirs ou blancs cerne une structure aux tonalités froides. Plusieurs tons de vert donnent sa gaité fraîche à cette toile frémissante.

Dufy montre sa capacité à isoler son motif.

Fluidité et spontanéité du rendu.

 

Plage 1925

Dufy module le bleu de la mer avec du vert, celui du ciel avec du rose.

Traits de pinceaux horizontaux, verticaux et obliques.

Il utilise les réserves blanches de la toile comme une sorte de halo pour les formes.

 

 

La méditerranée  1923

La mer était son horizon quotidien et lui offrait une source d’inspiration inépuisable.

Dufy découvre dans le midi le profond bleu cobalt de la mer et du ciel.

Même couleur pour la plage, la mer et le ciel.

Il aimait créer de vastes espaces d’une seule couleur.

Perspective imaginaire pour faire apparaître nettement les objets placés à l’arrière-plan.

Le rouge apporte une lumière de soleil ardente.

Sans le blanc le tableau serait moins éblouissant.

Bleu intense et en même temps chaud.

 

 

 

Vence 1923

Au début des années 20 Dufy peignit plusieurs vue de Vence. Matisse pour remercier les religieuses qui le soignaient décore la célèbre chapelle.

On reconnaît les remparts et la tour qui domine.

Marque de Dufy : arabesques ondulées, variété de motifs plats et colorés, originale caligraphie.

Toits de tuiles, oliviers et nuages en festons.

Les éléments les plus éloignés sont agrandis 

 

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